Version 5.0 : Vous vous trouvez dans la plus grande base de données de photos du Lycée Jean Moulin de Forbach, Moselle(57): des centaines de photos sont à découvrir tout au long de votre visite(plus de 150Mo de clichés)... Je vous souhaite une agréable visite sur un MaXX de photos. VnZ' ;-)
Voici une partie du site qui est fixe, si vous lisez ce message, c'est que vous etes venus consulter des fichiers de l'année 2002 : toujours accessibles comme bon vous semble, ces pages échappent néanmoins aux nouveautés du site ! Pour revenir dans la partie actualisé du site web, cliquez sur "HOME"

Menu général

Pourquoi ce site ?
Where is Forbach ?
Paroles de...
Commentaires
Jeux flash
Élection
Liens
Faire un lien
Calendrier des Épreuves du Bac

Emplois du temps

Vous possédez un emploi du temps tapé à l'ordi ? Envoyez le moi pour ainsi faire profitez tout le monde de vos heures de libre ;-)

Term ES 01
Term S 04
1eres ES 01
1ere ES 02

Vidéos

Un maXX de vidéos !

Photos

Cliquez sur les photos pour obtenir leurs tailles et leurs qualité optimales

2001-2002

Amis 2001-2002
Pages-perso

Livre d'or 2002

Été 2002

2002-2003

1ere ES 01          spé  book

1ere S1

Stef  W et Cie

Yann  S et Cie

Damien B et Cie

Vinz H et Cie

Chez l'ami Fritz 5-3-3

1ere S2

1ere ES 03

Gilles T et Cie

1ere Euro

Groupes

Schlossberg 6-6-3 

Chez Steph 6-6-3 

Photos de classe 2003

Communauté Hippie

Été 2003

Revision BaCool 10-6-3
Chez Anne 2-7-3
Chez Vinz 6-7-3
Chez Mikaël 11-7-3
Piscine VnZ 7-8-3

2003-2004

1eres
Term ES oNe
TermS   S 
TermS   L
Chez Laeti 27-9-3
Fête Freyming 26-10-3
Fête Nouvel An
Une photo vraiment déplaisante que vous souhaitez voir retirer du site ? Ecrivez moi.
Statistiques

 

 

bienvenue dans la communauté Web hippie

faites que le soleil brille toujours sur votre chemin

 

Cette page est crée pour les personnes croyant que la vie n'est pas belle

N'OUBLIEZ JAMAIS :

PEACE AND LOVE ..... je vous aime tous ....

 

Le mouvement hippie est celui de la paix et de l’amour : PEACE and LOVE .

Hippie veut dire : “ ceux qui ont pigé “ !

 

le mouvement hippie se caractérise en différents points :  

Le mouvement hippie naquit en Californie au milieu des années 1960 ; le terme de «hippies» fut utilisé pour la première fois en septembre 1965 dans un journal de San Francisco, l'Examiner, et fait référence à l'argot hip, qui désigne un rythme jazz ou encore un fumeur de haschisch. La contre-culture hippie reprit le thème du voyage en le concevant comme un élargissement de la conscience. Les hippies n'appartenaient à aucun mouvement structuré, et ne se définissaient que par un style de vie en rupture avec celui des générations précédentes. On peut pourtant dégager un ensemble de croyances partagées par les hippies, qui constitue l'ossature du «flower power» : la vie en communauté, la musique, les drogues, les philosophies orientales, une approche nouvelle des relations humaines fondée sur la paix et l'amour — «peace and love», selon le slogan du flower power.

La société de consommation

 

 

Les premières ébauches de mouvements contre-culturels apparurent aux États-Unis dans les années 1950, avec la Beat generation. En septembre 1957, avec la parution de On the road (Sur la route), Jack Kerouac donna un livre culte à la fraction de la jeunesse en rupture avec l'idéologie dominante de l'american way of life et de la lutte anticommuniste — la guerre froide était alors à son paroxysme et l'exaltation du mode de vie américain était l'un des axes majeurs de la propagande de Washington. Les beatniks abandonnèrent (drop out) leurs études ou leur profession et prirent la route, renouvelant la tradition américaine de la frontière, en l'élargissant au monde. Allen Ginsberg et William Burroughs furent les autres références littéraires de ce mouvement ; le premier publia Howl en 1955, le second le Festin nu (Naked lunch) en 1959.

 

Ces ouvrages connurent un succès considérable ; cependant, ce furent sans doute des facteurs extérieurs au mouvement contre-culturel qui provoquèrent son élargissement à de larges fractions de la jeunesse. Ainsi, la dimension pacifiste qui caractérisa la contre-culture s'inscrivit d'abord comme une opposition à la menace de guerre entre les deux superpuissances, avant de prendre un caractère plus massif avec la lutte contre l'intervention nord-américaine au Viêt-nam, pour enfin déboucher sur la revendication pacifiste. De même, les nouvelles formes culturelles peuvent être analysées comme un refus de la culture télévisuelle, alors déjà très développée aux États-Unis.

 Le mode de vie

Pates d'eph, veste en laine hyper large et usée, tuniques

en coton

Le top, c'est la fleur dans les cheveux, les FLEURS !!!

Ne pas oublier le célèbre "Peace and Love" qui se ressent

dans les vêtements. En 2 mot, s'habiller 70's c'est

s'habiller cool et glamour.                             

La sac a main en laine ou brodé est parfait, ne négligez pas

les chaussures ... clarks ou kickers étaient très appréciés

a l'époque, sinon vous pouvez aussi porter des tongs en

cuirs ... façon "moine"

Que tous ceux qui voient cette page puissent être libérés de toutes souffrances et qu'ils obtiennent rapidement l'état de Bouddha pour le bienfait de tous les êtres. Que la compassion naisse en eux, aujourd'hui, demain et jusqu'à leur éveil. Qu'ils soient heureux.
 

Qu'est ce qu'un HIPPIE?

Avant tout, il faut faire une distinction entre beatnik, hippie et yippie. Par contre, l'appellation baba cool est un synonyme familier de hippie. Ces trois catégories de jeunes ont certaines ressemblances, comme leur aspect (cheveux longs, ) ainsi que leur rébellion envers la société. Pourtant, ces mouvements ont quelques différences.

Tout d'abord, les beatniks (ou beats) furent les premiers à contester la société matérialiste. Ils apparurent dès le début des années cinquante aux États-Unis, donc bien avant les hippies. Leur mouvement ne s'étendit pas jusqu'en Europe, mais inspira par la suite les hippies. Ces derniers prirent en fait exemple sur eux, à la différence près que les beatniks étaient plutôt intellectuels, individualistes et aventuriers. Ils venaient plutôt des couches défavorisées du peuple et militaient contre la pauvreté et la misère. De plus, ils ne croyaient absolument pas en Dieu a la différence des hippies qui eux recherchent une spiritualité.

À la base, les hippies étaient des gens qui désiraient avant tout profiter de la vie, par exemple en usant de drogues diverses ou en recherchant la spiritualité. Ils méprisaient le confort et les intellectuels. La majorité d'entre eux sortaient d'un milieu bourgeois, mais en avaient honte. Ils firent leur apparition au milieu des années soixante, connurent leur apogée un peu partout dans le monde après mai 68, et déclinèrent vers la fin des années septante, pour laisser la place aux punks, « new wave » et « teddy boys », qui étaient des mouvements assez violents de jeunes des années huitante. Plus rien à voir avec « peace & love » ! ! !

Les yippies, quant à eux, avaient presque les mêmes idées que leurs prédécesseurs beatniks, mais étaient plus engagés politiquement. Ils voulaient continuer le combat contre la société et ses injustices. Ils étaient pour la plupart des jeunes de gauche actifs, dressés contre la guerre au Vietnam et le racisme. On ne les trouvait qu'aux États-Unis , à la fin des années soixante.

Il faut également noter que, durant les années soixante, en France, la majorité des jeunes étaient des yé-yé, c'est-à-dire qu'ils suivaient une certaine mode vestimentaire et musicale qui n'avaient rien à voir avec les hippies. Par exemple, ils étaient fans de Sylvie Vartan, et pas de Janis Joplin. De même, ils n'arboraient pas de cheveux longs, mais plutôt des coupes courtes et originales. Bref, ils faisaient plutôt partie des jeunes « branchés », « dans le vent », alors que les hippies étaient contre le fait de suivre une mode. Selon moi, s'il faut trouver un point commun, ce serait le fait qu'on est le même rêve : changer la société à travers un mode de vie marginal et alternatif

 

LE ROCK

Le rock fut l'une des formes principales d'expression de la révolte contre-culturelle dans sa dimension strictement musicale, notamment par le bouleversement que représente l'utilisation d'instruments électriques. En outre, les comportements sur scène de Jim Morrison, le chanteur des Doors, jugés scandaleux par l'Amérique traditionnelle, ou l'interprétation discordante de l'hymne américain par Jimi Hendrix lors du festival de Woodstock, loin de constituer des exceptions, s'imposèrent au contraire comme indissociables du rock. Cette forme de provocation continua d'être au cœur du phénomène rock, par exemple avec le mouvement punk (God Save the Queen, Sex Pistols,

Les principaux artistes présents

 

 

Jefferson Airplane

 

Arlo Guthrie

 

Backstage

 

Traffic Jam

 

Joan Baez

 

The BIG bathtub

 

Blood, Sweat & Tears

 

Country Joe McDonald

 

Joe's Encore

 

Joe Cocker

 

Cocker Again

 

Crowd Shot

 

Crowd Closeup

 

Champagne Cocktail

 

'Free' Stage

 

More 'Free'Stage

 

Tim Hardin

 

Richie Havens

 

Jimi Hendrix

 

Melanie

 

Campers & Cows

 

Mountain

 

Mud

 

Lots of Mud

 

Michael Lang

 

Hippie Press

 

Hippie Highway

 

Incredible String Band

 

Santana

 

John Sebastian

 

ShaNaNa

 

Ravi Shankar

 

Trail Markers

 

Grace Slick

 

Stage Construction

 

Main Stage

 

Stephen Stills

 

Sweetwater

 

Sound Tower

 

Ten Years After

 

Stagehand

 

Good Seats

 

The Who

 

Johnny Winter

En haut a gauche WOODSTOCKpuis Hendrix et Janis et là Santana

Woodstock la belle!!

 

Leary et les drogues

Timothy Leary théorisa l'usage des drogues à partir de ses premières expériences effectuées en août 1960 au Mexique avec des champignons hallucinogènes ; en 1964, devenu un «apôtre du LSD», il publia, avec Ralph Metzner et Richard Alpert, l'Expérience psychédélique. Pour Leary, les drogues constituent un mode d'«exploration intérieure inévitablement franchi […] lorsque les civilisations atteignent un seuil de sûreté nationale, de prospérité économique» ; il affirme ainsi que le chaos que provoque l'ingestion de drogues hallucinogènes est le meilleur moyen culturel d'aborder l'avenir, le seul en tout cas qui ne soit pas fondé sur la répression — les autres étant la religion, la politique et la science. Par la suite, Leary ne renonça pas à l'idéal de la contre-culture, plaidant désormais pour une cyberculture, et identifiant libération et chaos : «Le chaos est bon. Le chaos ouvre des possibilités infinies» (Chaos et cyberculture, 1994).

Quelques hippies             

Click sur l'image pour m'écrire

 

Que tous ceux qui voient cette page puissent être libérés de toutes souffrances et qu'ils obtiennent rapidement l'état de Bouddha pour le bienfait de tous les êtres. Que la compassion naisse en eux, aujourd'hui, demain et jusqu'à leur éveil. Qu'ils soient heureux.

Conçu par Yann, cette page est hébergé par le ze webmaster d' un Maxx de photos !

remontez

Webrothers

Newsletter

e-m@il

S'abonnerSe désabonner

Profils

Votre profil sur le site ? C'est tout facile ! Remplissez le questionnaire en cliquant sur le lien "questionnaire". Les seules conditions : faire partie du JM et envoyer une photo de vous si j'en ais pas déjà ;-)

Questionnaire

Term ES

Guillaume A  
Jérémie B  
Cynthia B

 

Maxime C  
Adrien D  
Jasmine H  
Vincent H  
Joachim K  
Aurélie K  
Anthony K

 

Brice M   
Sébastien M

 

Term S

Thibaud B  
Mikaël F  
Damien B  
Marie C  
Julien E  
Damien H  
Charlotte L  
Emmanuel L  
Mathieu M  
Josselin Q  
Sophie R  
Yann S  
Amandine T  
Stéphanie W  

Hors lycée

Geoffroy F  
Gilles T  

1ere S et ES

Marlyne H  
Anthea M  
Jean-Philippe S  

2nde

Gaëlle I  

From USA

Reed G  

 

Dernière maj : 10/02/2004 15:12

Copyright © un MaXX de photos 2003-2004. Tout droits réservés.

E-m@il : VinZ